Oi-Generation

Oi! Generation

Mercredi 11 août 2010 à 21:25


http://blog.sme.sk/blog/4726/178124/Sham69.jpg
.: Sham 69

Formé vers la fin de l'année 1976 à Hersham dans la province de Surrey, au sud-ouest Londres,
Sham 69 (leur nom provient d'un bar où un graffiti dans les toilettes honoré l'équipe locale de football "Walton et Hersham '69") est crée par le chanteur Jimmy Pursey, Albie Maskell (basse), Andy Nightingale, Johnny Good et Neil Harris (guitare).

En juin 1977, Andy Nightingale, Johnny Good et Neil Harris quittent le groupe. Dave Parsons (guitare) et Mark Cain (batterie) rejoignent le groupe.

Sham 69 commence à jouer dans de nombres clubs de Londres et à travers l'Angleterre, dont les fameux "Roxy" et "Red Cow" ; club qui à l'époque permit à de nombreux groupes d'éclatés dans le Punk-Rock.

En septembre 1977, avec le soutien de Mark Perry d'"Alternative TV",
Sham 69 sort son premier 45 tours I Don't Wanna avec les morceaux "I Don't Wanna", "Red London" et "Ulster" sur le label " Step Forward Records". Un vrai album punk-oï, à l'origine de leur succès. Avec des paroles politiquement populistes, composés principalement pour la classe ouvrier avec de longs refrains rappelant les hymnes de supporter de football, des paroles émotive, et des airs conduits par les guitares, ils jouèrent un rôle important dans le mouvement oï (Hey You devenu par le suite Oh You).

Albie Maskell devenant organisateur de concert à Londres, laisse sa place à "Dave Treganna". En janvier 1978, sort le 45 tours
Borstal Breakout, grand classique du Punk repris par des groupes comme Sick of It All, Street Dogs... En février, le groupe publie l'album Tell Us The Truth, qui comporte la face A enregistré en studio et la face B en live.

Cette même année le groupe subit un mauvaise image dut à l'association fait avec les boneheads (nom donné au skinheads facho et raciste) et la violence durant leurs concerts. Malgré le fait que le batteur du groupe était juif, le Front National britannique, vient faire sa propagande durant leurs concerts et en graine de nouvelles recrus. Pour lutter contre cette image négative, ils décident de jouer pour l'association Rock Against Racism (voir le mouvement RASH fondait dans les années 1980) et de lutter contre toutes formes de violence. Mais tout ceci ne change rien, leur image reste mauvaise. Peut de temps après le groupe arrête de jouer en concert à la suite d'une violente dispute avec des Boneheads de Hendon.

En juillet 1978, sort l'Ep
If The Kids Are United sur le label "Polydor", mondialement connue et repris par des groupes comme les Berurier Noir dans l'album Viva Bertaga, Rancid ou encore Hitman. Sort à la suite l'Ep Hurry Up Harry, avec les morceaux "Hurry Up Harry" et "No Entry", puis l'album Tell Us The Truth sur le label "Polydor", composé de 21 morceaux plus ou moins inédits. That's Life LP sort la même toujous sur le même label avec 14 morceaux.

En 1979, l'album
Adventures of Hersham Boys sort 20 titres mais un son beaucoup moins punk, plus dirigé vers le Rock comme les The Who ou bien The Faces.

Le groupe se sépare après la sortie du disque
The Game en 1980, lassé de l'attitude du public face à eux, mais surtout de leur manque d'envie de continuer. Brian James rejoint alors les Damned, Stiv Bators les Dead Boys et Dave Treganna les groupes punk-gothic des Lords of the New Church.

Dans les années 1990, Pursey reforme le groupe, mais le succès n'y est plus. On vera apparaître un grand nombre de best of et d'album sans grand intérêt. De nos jours le groupe continue sa route à travers le monde en faisant de nombreux concerts et festivals.

Mercredi 11 août 2010 à 22:00

Bérurier Noir : Biographie

Bérurier Noir

Les Béruriers Noirs, icônes punk de toute une génération, se sont formés en région parisienne en 1978. Le duo fondateur composé de Loran (chanteur – guitariste) et François (chanteur) n’a jamais hésité à s’engager et à dénoncer tous les maux de la société française: du Front National aux sectes en passant par l’anarchie, la violence, la folie et… la police ! Ils ont choisi ce nom en référence à un personnage qu’on retrouve dans les aventures de San Antonio…

Macadam Massacre

Le groupe, porte-drapeau du rock alternatif, va peu à peu s’agrandir, accueillant Pascal et Masto aux saxophones, Helno, Laul, la grande Titi et la petite Titi (les Titines) au micro.

Le premier album, Macadam Massacre, arrive en 1984. Ils vont publier un album par an jusqu’à la fin des années 80. Dans l’ordre, Concerto pour détraqués (1985), Joyeux merdier (1986), Abracadaboum (1987), Ils veulent nous tuer (1988), Souvent fauché, toujours marteau (1989) et Viva Bertaga (1990).

Leur zénith date de 1988 lorsqu’ils remplissent la salle parisienne du même nom. Les mouvement étudiants de ces années-là les mettent en pleine lumière.

Bus d’Acier

Contestataires jusqu’au bout, ils refusent tout passage à la télévision et boycottent la cérémonie de remise du « Bus d’Acier » qu’ils remportent en 1988. Durant cette période, les Béruriers Noirs sillonnent la France et l’Europe pour donner des concerts d’une rare puissance. Le concert d’adieu a lieu à l’Olympia en 1989.

Le label New Rose, célèbre pour avoir été le fer de lance du rock indépendant français met la clé sous la porte au moment où la formation décide elle aussi de se retirer. En fait, les Bérus ne supportent plus l’émergence du marketing et les pressions commerciales qu’on leur impose !

Reformation

Un best of arrive en 2000 mais la bonne nouvelle est pour 2003. Le combo est en effet contacté pour ouvrir la vingt-cinquième édition des Transmusicales de Rennes et ce que les fans attendaient depuis près de quinze ans se produit: une reformation !

Cette reformation inespérée donne lieu en prime à un DVD, Même pas mort, comprenant des titres inédits et des versions revisitées de leurs plus grands succès. Un second disque propose des documents d’archives et revient sur la carrière de ce groupe qui a marqué l’histoire du rock en bleu blanc rouge.

Mercredi 11 août 2010 à 22:06

 

 

THE OPPRESSED


The Oppressed (de Cardiff, en Angleterre) est l’un des premiers groupes de Oi!, Formé en 1981 et malheureusement dissout en 2006. C’est ‘un des groupes emblème du mouvement skinhead, ses membres, et en particulier son leader et chanteur Roddy Moreno, a ouvertement exprimée dans les paroles du groupe et dans ses déclarations et interviews de son antifascisme et antiracisme. En 1989, Roddy Moreno a visité New York et a rencontré des membres du SHARP. De retour en Angleterre il a commencé à promouvoir le SHARP parmi les skinheads d’Angleterre en étant une des figures les plus visibles du mouvement antifasciste anglais. De même le groupe à eu des liens avec d’autres organisations antifascistes comme l’Action Antifasciste..

Prêtez attention aux titres : Skinhead Times, Fuck Fascism, The AFA Song, Nazi Nightmare, Work Together, Urban Soldiers, Hooligans, Riot, Joe Hawkins, Fight for Your Life, Sleeping With The Enemy, Skinhead Girl, B.N.P. (Your Full Of Shit), Ultra Violence, Rebels With A Cause, Police Car, etc… de vrais hymnes du mouvement Skinhead..

TELECHARGER ICI :

* The Oppressed – Oi! The Tape (1983)
http://www.mediafire.com/?ygy4nzakmt3

* The Oppressed – Oi! Oi! Music (1984)
http://www.mediafire.com/?nkggo2mzt1m

* The Oppressed – Antifascist Oi! (EP) (1996)
http://www.mediafire.com/?a0ulwzj31fy

* The Oppressed – Dead & Buried And Fatal Blow (1996)
http://www.mediafire.com/?z2mnyantwym

* The Oppressed – 5-4-3-2-1 (EP) (1996)
http://www.mediafire.com/?yjqmwizj2f2

* The Oppressed – Fight For Your Life (The Best of The Oppressed) (1996)
http://www.mediafire.com/?v4mzzzznmw4

* The Oppressed – We Can Do Anything (1996)
http://www.mediafire.com/?jotyzilnz5n

* The Oppressed – Fuck Fascism (EP) (1996)
http://www.mediafire.com/?izwjmhzgtxo

* The Oppressed – Music For Hooligans (1996)
http://www.mediafire.com/?wxzn2nidn05

* The Oppressed – More Noize for the Boys (1998)
http://www.mediafire.com/?ltmtodizyit

* The Oppressed – Oi! Singles & Rarities (2001)
http://www.mediafire.com/?m2uijkjnirz

* The Oppressed – AntiFa in USSR (2004)
http://www.mediafire.com/?zwj1ogmjeye

* The Oppressed – Skinhead Times (2005)
http://www.mediafire.com/?mxyrznqd2rj

* The Oppressed – The Insurgence (EP) (2007)
http://www.mediafire.com/?gznzd2ivygg 


Bio trouvée sur Futurrouge

Mercredi 11 août 2010 à 22:21

http://futurrouge.files.wordpress.com/2010/02/la1.jpg

The Godfather of Ska, Laurel Aitken fait partie, au même titre que Desmond Dekker et Prince Buster, de cette vague d'artistes jamaïcains qui se sont consacrés à la musique ska. A plus de 70 ans, Laurel continue ses périples scéniques et marque une longévité soutenue et sans faille dans le circuit. Ce Cubain, né en 1927, émigre à l'âge de onze ans en Jamaïque (West Kingston). Il commence sa carrière musicale dès les années 40 avec des chansons dans le style Nat King Cole. Très vite, il est passionné par tous les sons de calypso, mento, soul et R&B. Il commence à travailler sa propre musique, chantant, dansant, et sort ses premiers singles dans les années 50. 1958, il fait sensation avec « Little Sheila » et « Boogie in my bones » (sur un jeune label en pleine explosion, Island Records). En 60, il quitte la Jamaïque et s'installe à Londres où il constitue la première communauté jamaïcaine, non loin de Brixton. Il se met à travailler avec Melodisc (qui crée très vite le nouveau label Blue Beat) et produit plusieurs disques toujours dans la même lignée ska, rocksteady et même reggae. Il intégrera aussi Emi, Ska Beat, Direct Records... Pendant cette période, il produit quelques standards incontournables comme « Jesse James », « It's too late » ou « Pussy Price ». Il est le seul artiste jamaïcain qui parvient à tourner en Angleterre. Fin des années 70, le 2-Tone explose emmené par Laurel Aitken et Prince Buster. Laurel tourne assidûment avec The English Beat, Secret Affair (...) ; sa carrière est relancée. On lui doit à cette époque le très connu « Rudi Got Married ». A la fin du 2-Tone, il croit fermement en l'avenir de la musique ska et s'associe aux Potato 5, avec lesquels il sortira albums et singles. On le voit aussi à l'écran dans « Absolute Beginners ». 2000, Laurel Aitken est toujours présent sur les scènes et dans les bacs. Tournant un peu partout en Europe et ailleurs, collaborant avec divers artistes ska, comme The Busters, The Toasters ou encore les Japonais de Ska Flames. Considéré comme « The Godfather Of Ska », il demeure un artiste demandé et talentueux qu'aucun rude boy et rude girl ne voudrait rater sur scène ! Même si ces concerts sont toujours un peu rapides et qu'on reste un peu trop sur sa faim ! ! !

Mercredi 11 août 2010 à 22:25

CAMERA SILENS

Eté 1981, Gilles et Benoît se rencontrent chez Philippe, qui a un appartement dans une petite rue située près de la place St Projet, à Bordeaux. Personne n’imagine alors que le punk sera plus tard utilisé dans les spots de pub. Au contraire, c’est le seul moyen d’exprimer le rejet d’une société terne qui ne semble pas proposer grand chose. Lassés de traîner et de ne rien faire de concret, ils décident de monter un groupe. Impressionnés par le sort des terroristes allemands de la bande à Baader, ils prennent le nom de Camera Silens, la cellule d’isolement total utilisée pour leur incarcération. Loin de l’influence anglo-saxonne, ce nom les séduit car le calme qu’il inspire est à l’opposée du bruit qu’ils font en jouant (du latin "camera" = pièce et "silens / silere" = faire silence).

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | Page suivante >>

Créer un podcast